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Fortuna Mining explore les investissements en Guinée pour les opportunités d’extraction d’or

La société mène activement des visites sur le site et s’engage avec les autorités locales pour rechercher des perspectives d’extraction d’or.

Une partie du budget d’exploration croissant de l’entreprise est affectée à la Guinée. Crédit: Salienko Evgenii / Shutterstock.

Fortuna Mining aurait exploré de nouvelles opportunités en Guinée après sa sortie stratégique du Burkina Faso, où elle a été confrontée à une instabilité réglementaire et à des coûts de sécurité élevés.

La société canadienne minière, actuellement établie en Guinée, mène activement des visites sur le site et s’engage avec les autorités locales pour rechercher des perspectives d’extraction d’or, selon un rapport de Reuters.

Le PDG de Fortuna, Jorge Ganoza, a été cité par l’agence de presse disant: “Nous constatons que la Guinée est un endroit où nous investirions aujourd’hui.”

Une partie du budget d’exploration croissante de l’entreprise est affectée à la Guinée, où Ganoza voit «beaucoup de place à la découverte».

Cette décision souligne la dynamique changeante dans le paysage minier de l’Afrique de l’Ouest, où les gouvernements dirigées par les militaires révisent les codes miniers et se sont privés de menaces djihadistes.

Le Burkina Faso, avec le Mali et le Niger, a connu des coups d’État militaires depuis 2020, conduisant à de nouveaux codes miniers visant à renforcer le contrôle local.

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Par GlobalData

Ces pays ont également pris des mesures affirmées contre les sociétés minières étrangères, notamment des arrestations et des convulsions d’actifs.

En revanche, la Guinée, sous le régime militaire depuis un coup d’État en 2021, n’a pas révisé son code minière mais a exercé une pression sur les entreprises étrangères concernant les délais du projet.

“Nous ne voyons pas les mêmes situations que nous le voyons aujourd’hui au Mali ou au Burkina Faso ou au Niger”, a ajouté Ganoza.

Le récent départ de Fortuna du Burkina Faso impliqué Vendre la mine d’or Yaramoko Pour 130 millions de dollars (179,32 millions de dollars), malgré la perte d’environ 70 000 onces de production d’or.

Ganoza a décrit la vente comme «une offre très convaincante», compte tenu des réserves de baisse de la mine et des frais de sécurité annuels de 7 millions de dollars encourus en raison de menaces djihadistes.

L’entreprise a dû adopter une «base complète de vol à vol pour tout le personnel» au Burkina Faso, le transport terrestre jugé trop risqué.

En outre, Ganoza a critiqué la demande du gouvernement de Burkinabe pour une participation maximale de l’État dans les sociétés minières dans le cadre du nouveau code minier mis en œuvre en juillet 2024, ce qui, selon lui, n’est pas compétitif, selon le rapport.

Le retrait de Fortuna du Burkina Faso suit une décision similaire de Mining Mining l’année dernière.

À l’échelle mondiale, Fortuna augmente son investissement d’exploration et de développement de projets à 51 millions de dollars cette année, contre 41 millions de dollars en 2024.

Outre la Guinée, la société se concentre sur le projet Diabba Sud Gold du Sénégal et élargit ses opérations en Côte d’Ivoire, où se trouve sa mine phare Segulela Gold.

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